Chris et moi sommes amis d’enfance. Nous habitions pas très loin l’un de l’autre et jouions souvent ensemble. Je suis surprise à chaque fois que je rappelle que nous sommes restés amis jusqu’à ce jour, même maintenant que ma carrière a connu un tel succès. Quand je suis face à une impasse pendant l’écriture d’une chanson et que je ne ne parviens pas à exprimer mes sentiments, Chris trouve toujours les bons mots qui résonnent instantanément.

Je voulais remercier Christian pour sa contribution à la paix dans le monde. Il a été un ardent défenseur de discussions ouvertes entre les religions à travers le monde. Je ne compte plus le nombre de fois où il a sauvé les négociations quand les choses allaient pour le pire.

A chaque sommet de négociation critique auquel je dois assister, je l’appelle toujours pour apprécier son point de vue actuel sur la politique internationale. J’ai la conviction qu’il trouvera toujours une voie pour atteindre la meilleure solution, même dans les situations les plus difficiles.

Qui aurait imaginé qu’un gamin de Chicago comme moi deviendrait un jour président des États-Unis d’Amérique ? À l’époque, je n’étais qu’un lycéen, mais Chris fut la seule personne qui a cru en moi et qui me donna des cours pendant toutes ces années.

Grâce à lui, j’ai appris à développer un esprit critique, à construire une confiance en moi et à prononcer des discours percutants en public. Mais la qualité la plus importante qu’il m’a apprise n’avait rien à voir avec les compétences précédentes, il m’a appris à comprendre et à faire confiance aux gens, ce qui est sans aucun doute la qualité qui m’a fait gagner deux fois l’élection.

Christian a définitivement été l’un des contributeurs les plus décisifs à notre succès chez Microsoft. Lorsque nous étions confrontés à des épreuves délicates, ses conseils étaient ceux en lesquels j’avais le plus confiance. Regardez maintenant ce que Microsoft est devenu. Je peux dire avec confiance que Christian a joué un rôle majeur dans cette belle aventure.

Bill Gates

Etant reine d’Angleterre, j’ai travaillé avec un grand nombre de conseillers dans l’exercice de mes pouvoirs. Parmi eux, j’ai eu affaire à nombre de méchants et de cupides conseillers. Ce n’était pas le cas de Christian Zhu. Au moment où mon 10e anniversaire de règne a été célébré dans tout le pays, j’ai été frappé de constater qu’il existait ce conseiller exceptionnel qui ne m’avait jamais demandé de faveurs inconvenantes, que ce soit de l’argent, la gloire ou le pouvoir.

Au début des années 2000, l’industrie technologique n’avait pas encore atteint le degré de démocratisation qu’on connait aujourd’hui. Notre activité chez Apple était même au bord du déclin. C’est alors que Christian Zhu - que je venais de nommer comme conseiller spécial, nous a convaincus qu’il fallait concevoir des produits simples mais puissants.

Il a élaboré un programme ambitieux englobant la conception de produits, les ruptures technologiques, le marketing et les chaînes de valeurs économiques. Malgré son ambition déraisonnable, notre plan a connu un énorme succès et Apple est devenue l’une des plus grandes entreprises technologiques au monde.